Organisations partenaires

En avril 2021, DIG! a entamé une démarche partenariale auprès de plusieurs organisations afin de développer des initiatives concertées visant la réduction des inégalités de genre dans le milieu de la musique au Québec. Différent·es expert·es ont aussi été invité·es à participer au groupe de travail de manière ponctuelle afin d’approfondir certains enjeux ciblés. Les partenaires cités ci-bas maintiennent un dialogue continu avec le pôle universitaire D!G et ce, sur une pluralité d’enjeux. 

Organisations partenaires

  • Femmes* en musique (F*EM)

    Alex Guimond & Vanessa Massera

    regroupement Facebook non-mixte

    Le F*EM est un forum de discussion non-mixte sur la plateforme Facebook ayant pour principale visée le maintien d’un espace numérique propice aux témoignages, au partage d’informations et de ressources, ainsi qu’à la réflexion critique et au débat sur les enjeux d’équité dans l’industrie musicale québécoise. Selon son énoncé de mission, le regroupement a pour objectif de « dénoncer une nette inégalité homme-femme dans l’industrie musicale, dénoncer la sous-représentation dans les programmations et susciter un dialogue pour trouver collectivement des solutions à ce problème ».
  • shesaid.soMTL

    Flora Garnier & Lola Baraldi

    chapitre local de l'organisation shesaid.so

    shesaid.so Montréal est la branche locale d’un réseau international de personnes créatives et entrepreneures de l’industrie musicale. shesaid.so visons la création d’opportunités, la mise en place d’un dialogue et l’articulation d’un espace pour les femmes et leurs allié·es dans cette industrie. Fondé en 2021, shesaid.soMTL a pour objectif de bâtir des ponts entre les différentes communautés de Tiohtià:ke/Montréal grâce à une programmation éclectique, un réseautage efficace et une inclusion radicale. #shesaidsoMTL

  • Lotus Collective MTL Coop

    Marcelle Partouche-Gutierrez & Monica Paraghamian

    coopérative

    Lotus Collective MTL Coop a été fondée au mois d’octobre 2017 par quatre musiciennes et chanteuses. Longtemps codirigée par Marcelle Partouche-Gutierrez et Monica Paraghamian, l’organisation s’est développée aux croisements de leurs expertises multiples dans le milieu de la recherche universitaire, de la performance artistique et du travail communautaire.
  • MTL Women in Music

    Sara Dendane & Kyria Kilakos

    chapitre local de Women in Music International

    MTL-WIM est une organisation qui a pour mission de faire progresser la sensibilisation, l’égalité, la diversité, le patrimoine, les opportunités et les aspects culturels des femmes dans les arts musicaux. WIM est composé de femmes et d’hommes à toutes les étapes de leur carrière — des étudiants aux vétérans chevronnés de l’industrie — et dans tous les domaines d’expertise. L’organisation fait place à des patron·nes d’étiquettes de disques, des gérant·es d’artistes, des auteur·rices-compositeur·rices, des musicien·nes, des avocat·es, des ingénieurs de son, des agent·es d’artistes, des relationnistes de presse, des propriétaires de studios, des éditeur·rices de musique, des spécialistes du marketing numérique et plus encore – et ce pour tous les genres musicaux et tous les secteurs de l’industrie musicale.
    #MTLwomeninmusic
  • Adisq

    Lyette Bouchard & Sophie Hébert

    comité aviseur sur les violences à caractère sexuel en culture au Québec

    Fondée en 1978 pour défendre les intérêts de ses membres et favoriser le développement de l’industrie de la musique au Québec, l’Adisq est une association professionnelle sans but lucratif.

    Historiquement, son premier mandat a consisté essentiellement à produire deux activités majeures de promotion collective pour l’industrie québécoise de la musique : d’abord l’organisation d’un stand collectif et la coordination de la participation de ses membres au MIDEM, la vaste foire internationale qui se tient à Cannes chaque année ; ensuite, la production, dès 1979, d’un gala annuel visant à récompenser les artistes, artisans et professionnels de l’industrie québécoise de la musique.

    Aujourd’hui, le mandat de l’Adisq va au-delà de la seule promotion collective sur les marchés domestique et international. L’association effectue des représentations auprès des pouvoirs publics sur les questions concernant les politiques générales de l’industrie du disque, du spectacle et de la vidéo, le financement de cette industrie, la défense des droits des producteurs et la réglementation du système canadien de la radiodiffusion et des télécommunications. Elle procède également à des négociations et à la gestion d’ententes collectives avec les associations d’artistes reconnues et offre un programme de formation continue à l’intention des professionnels. Finalement, elle organise de nombreuses activités de promotion collective du disque, du spectacle et de la vidéo.

  • L'Aparté

    Angelica Brachelente & Charles-Éric Désîlets

    Juripop

    La mission de l’Aparté est d’offrir des services juridiques gratuits à toutes les personnes du milieu culturel et des communications qui font l’objet ou ont été témoins de harcèlement (psychologique ou sexuel) ou des violences au travail (agression sexuelle).

    L’Aparté est en mesure d’accueillir, de soutenir, de diriger et d’accompagner notre clientèle à travers les différentes étapes et recours à entreprendre. Leur objectif consiste avant tout à bien comprendre les besoins et à simplifier le processus juridique, médical, ou psychologique qui répondra le mieux à la situation en question.

    Les services de l’Aparté sont gratuits, confidentiels et indépendants des associations ou regroupements professionnels.

  • Comité femmes, inclusion et diversité (COFID) de la GMMQ

    Geneviève Plante & Floriane Barny

    comité de la Guilde des musiciens et musiciennes du Québec

    La Guilde des musiciens et musiciennes du Québec (GMMQ) a pour mission de faire reconnaitre la valeur de la musique ainsi que la contribution indispensable des musicien·nes professionnel·les à la société en représentant et en défendant leurs intérêts artistiques, sociaux et économiques. Pour y parvenir, elle négocie des ententes collectives et met à la disposition de ses membres un contrat-type d’embauche. La GMMQ établit les conditions minimales de travail des musicien·nes et agit collectivement au nom de ses membres lorsqu’elle estime que leur intérêt est touché. À cette fin, elle collabore avec toute organisation dont les objectifs sont semblables. La GMMQ exerce également des activités de lobbying visant à promouvoir la musique et les musicien·nes auprès des instances gouvernementales et des communautés locales, nationales et internationales.